Le temps passe... Nous arrivons en 2007, dernière ligne droite avant 2008 qui verra la Ford T fêter ses 100 ans (le modèle, car la mienne est de 1926). L'objectif est de terminer la voiture avant, bien sûr.
Jean-Pierre s'attaque au remontage final. Premier problème, le radiateur. Il est légèrement plus haut depuis 1925, et difficile à trouver. Celui de la voiture était d'un modèle antérieur. Michel Verdier, un spécialiste des ancêtres, m'en fait passer un autre, du bon modèle, mais en mauvais état. En assemblant les deux, le résultat n'est pas probant, il reste quelques fuites ! Il faudra sûrement passer par une réfection totale...
Le radiateur en place détermine le bon emplacement de la caisse sur le chassis, en fonction de la taille du capot. La caisse est définitivement fixée, et les quelques (!) instruments de conduite raccordés à la mécanique. Ceux-ci se limitent au volant, aux commandes d'accélérateur, d'avance et de richesse et au bouton contact/phare. Au sol, trois pédales et un levier. La conduite particulières des Ford T fera l'objet d'un article ultérieur !
Nous avons vu que les ailes avant étaient trop abimées pour être reprises, et difficiles à importer des USA, du fait de leur volume. Finalement, un ami qui ramène deux voitures et des pièces détachées dans un container de pièces nous les apporte en neuf. Il manquait une aile arrière. Celle qui reste, d'un modèle non-standard spécifique à la carrosserie, sert de modèle pour en fabriquer deux, à partir d'une feuille de tôle. Les marchepieds sont refabriqués et les jupes de chassis, tout juste sauvables, légèrement rallongées.
Il est maintenant temps de passer en peinture. Henri Ford avait dit : « Le client a le choix de la couleur, à condition qu'elle soit noire ! » Dans les faits, plus le modèle évoluera, plus le choix sera varié. Néanmoins, le noir reste la couleur la plus répandue, a fortiori sur une version utilitaire comme celle-ci. Jean-Pierre réalise donc une teinte satinée, qui convient parfaitement à l'auto, ni trop brillante, ni trop mate. Avec sa peinture, la Ford T a maintenant acquis son allure définitive. En novembre 2007, un premier essai sur route confirme la qualité des travaux effectués. Seul le radiateur continue à fuir, et il reste à monter les phares, les feux et les plaques d'immatriculation... Ça donnera une petite touche de couleur, mais on approche du résultat final !
Le temps passe... Nous arrivons en 2007, dernière ligne droite avant 2008 qui verra la Ford T fêter ses 100 ans (le modèle, car la mienne est de 1926). L'objectif est de terminer la voiture avant, bien sûr.
Jean-Pierre s'attaque au remontage final. Premier problème, le radiateur. Il est légèrement plus haut depuis 1925, et difficile à trouver. Celui de la voiture était d'un modèle antérieur. Michel Verdier, un spécialiste des ancêtres, m'en fait passer un autre, du bon modèle, mais en mauvais état. En assemblant les deux, le résultat n'est pas probant, il reste quelques fuites ! Il faudra sûrement passer par une réfection totale...
Le radiateur en place détermine le bon emplacement de la caisse sur le chassis, en fonction de la taille du capot. La caisse est définitivement fixée, et les quelques (!) instruments de conduite raccordés à la mécanique. Ceux-ci se limitent au volant, aux commandes d'accélérateur, d'avance et de richesse et au bouton contact/phare. Au sol, trois pédales et un levier. La conduite particulières des Ford T fera l'objet d'un article ultérieur !
Nous avons vu que les ailes avant étaient trop abimées pour être reprises, et difficiles à importer des USA, du fait de leur volume. Finalement, un ami qui ramène deux voitures et des pièces détachées dans un container de pièces nous les apporte en neuf. Il manquait une aile arrière. Celle qui reste, d'un modèle non-standard spécifique à la carrosserie, sert de modèle pour en fabriquer deux, à partir d'une feuille de tôle. Les marchepieds sont refabriqués et les jupes de chassis, tout juste sauvables, légèrement rallongées.
Il est maintenant temps de passer en peinture. Henri Ford avait dit : « Le client a le choix de la couleur, à condition qu'elle soit noire ! » Dans les faits, plus le modèle évoluera, plus le choix sera varié. Néanmoins, le noir reste la couleur la plus répandue, a fortiori sur une version utilitaire comme celle-ci. Jean-Pierre réalise donc une teinte satinée, qui convient parfaitement à l'auto, ni trop brillante, ni trop mate. Avec sa peinture, la Ford T a maintenant acquis son allure définitive. En novembre 2007, un premier essai sur route confirme la qualité des travaux effectués. Seul le radiateur continue à fuir, et il reste à monter les phares, les feux et les plaques d'immatriculation... Ça donnera une petite touche de couleur, mais on approche du résultat final !
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